Bonsoir à tous,
Cela fait maintenant deux ans et demi, depuis le 24 juillet 2016, que je n’ai pas publié d’article sur mon blog, que je continue à suivre du coin de l’œil. Étrangement ou pas, ce soir, je ressens l’inspiration qu’il me manquait pour écrire ici. Pour tout vous dire, cela fait seulement trois mois que je me suis remise à l’écriture, avant c’est comme si la rédaction sur des sujets personnels était bloquée en moi. A travers cet article, je pense que je vais partager mon vécu de ces deux dernières années, et en extraire des enseignements afin que ça puisse éventuellement aider les lecteurs de ce blog. Je sais que vous êtes toujours autant nombreux à le visiter, à le lire, même à vous abonner, et je vous en remercie. Je vous dois bien cet article.
En effet, depuis septembre 2015, j’ai mis en pratique un projet professionnel bien prenant et passionnant pour moi : celui de reprendre des études dans un domaine qui me plaît et que j’ai choisi moi-même, sans l’influence d’une personne extérieure.
Lorsque nous avons un problème, la réponse est en nous. Mais souvent, il n’y a pas de problème : il n’y a que des solutions.
Ainsi, il y a maintenant trois ans et demi, j’ai osé retrouver une partie de mes rêves de petite fille, et partir à l’aventure dans une autre ville que celle où je vivais avec mes parents. Je ne savais pas encore que trois ans plus tard, je retrouverais d’autres rêves encore plus enfouis en moi, mais je ne vais pas trop spoiler 😉 C’est de cette façon que je me suis retrouvée à la faculté, à commencer une licence en Sciences de la Vie et de la Terre, où j’ai étudié pendant un an plusieurs disciplines, notamment la biologie et la géologie. Cette année de L1 m’a transcendée : j’ai appris tant de choses, j’ai connu plusieurs personnes très intéressantes, et surtout pour la première fois de ma vie, je me suis sentie à ma place.
Je dois avouer que je n’aurais jamais pu faire cette reprise d’études tant que j’étais dans la relation toxique que j’ai évoquée par endroits sur ce blog. Vous qui avez déjà croisé le chemin d’un pervers narcissique, vous savez que ce dernier ne supporte pas qu’on soit meilleur(e) que lui, et donc qu’on le surpasse. Dans mon cas, étudier à l’université aurait été le plus grand des affronts, lui qui voulait que je travaille afin de ramener de l’argent, et de préférence dans un domaine qui ne me permettait pas de m’épanouir, donc certainement pas un choix conscient mais un choix par défaut. Or, c’était impossible pour moi de vivre plus longtemps dans le mensonge : j’avais ma vie à vivre, j’étais pleine d’ambition mais je ne le savais pas tant que j’étais avec lui, je ne l’ai compris qu’après coup. L’ironie, c’est que je me suis longtemps crue sans aucune ambition, surtout quand il était dans ma vie.
Les vampires nous volent notre lumière et nous rendent ternes, alors même que nous sommes des êtres lumineux. Mais ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.
Après cet aparté – j’ai toujours cette fâcheuse manie à digresser lorsque je fais un récit, que ce soit à l’oral ou à l’écrit, j’espère que vous suivez – revenons donc en L1 Sciences de la Vie et de la Terre. Une révélation, ou plutôt un retour à ce que j’ai toujours voulu étudier. L’université est vite devenue presque comme une seconde maison pour moi, tellement je m’y sentais bien. J’ai eu un parcours chaotique au lycée où j’ai obtenu mon Bac Scientifique mention miracle (autrement dit, sur le fil du rasoir), mais les seuls cours qui me motivaient à l’époque étaient les SVT et l’espagnol LV2 (parce que c’est une belle langue, très agréable à mon oreille). Alors cinq ans plus tard, quand je me suis retrouvée sur les bancs des amphis de la fac, avec leurs tags sur les tables et l’ambiance si particulière typique des universités françaises, je me suis très vite prise de passion pour ce que j’apprenais. Parce qu’il se trouve que j’adore apprendre, toujours plus apprendre, c’est quelque chose qui me stimule et me passionne. Les cours magistraux, les travaux pratiques en laboratoire et les sorties sur le terrain m’ont beaucoup appris. Cela dit, je pense que c’est en sortie terrain que j’ai le plus appris sur moi-même, car au second semestre de L1, j’ai fait beaucoup de journées à chercher des cailloux et à marcher dans les forêts, sur les collines et dans les massifs. Ça n’a pas toujours été facile car j’y ai vite rencontré mes limites physiques, avec mes jambes qui ne me portaient plus des masses et ma respiration qui devenait trop rapide. J’ai compris après avoir vu certains médecins que je faisais de l’asthme d’effort, que mes poumons ne sont pas comme ceux de la moyenne des gens et que mes muscles sont ainsi moins oxygénés, donc que j’ai vite mal aux jambes si je force trop. Alors pour suivre lors des randonnées, j’ai dû m’adapter et ralentir la cadence, quitte à arriver après tout le monde. Nous n’avons pas tous les mêmes capacités physiques, c’est ainsi, il faut l’accepter. Un jour que je montais une pente, essoufflée, l’un de mes profs de géologie m’avait dit : « Ça ne sert à rien que tu prennes de la ventoline, l’idée c’est que tu marches plus lentement et tu verras, tu respireras mieux. ». J’ai essayé de suivre son conseil, et je l’ai vite remercié car en effet, je respirais et marchais mieux en montant plus lentement. Aujourd’hui, à chaque randonnée ou marche que je fais, je suis encore son conseil.
Par la suite, en deuxième année de licence, j’ai compris qu’il fallait que je change de parcours car la géologie, c’était décidément trop de maths et de physique, beaucoup de chiffres et d’équations à maîtriser et je n’y arrivais pas, dû à mes lacunes du lycée et à mon esprit qui n’avait plus envie de faire de maths. C’est alors qu’à côté de la licence Sciences de la Terre (Géologie), il existe aussi la licence Sciences de la Vie (Ecologie), et c’est donc là que j’ai continué ma L2, sans trop savoir dans quoi j’allais. Mais mon intuition a été bonne : dès lors, j’ai compris que je voulais étudier l’écologie et apporter ma pierre à l’édifice. Parce qu’on ne va pas se voiler la face, la planète va mal et il y a clairement du travail dans ce domaine … notre génération est celle de la prise de conscience de ce qu’ont fait nos parents et surtout nos grands-parents, nos ancêtres plus lointains. Le monde est ce qu’il est, on ne peut pas refaire le passé, mais à ce jour nous devons changer nos habitudes de vie, afin d’essayer de préserver un peu plus la Terre et ses ressources. Mais tout cela, c’est surtout une histoire d’humilité, nous devons rester humble devant la nature et savoir rester à notre place. Voilà, j’ai toujours eu ce respect de la nature depuis toute petite, et ce n’est pas par hasard si je travaille aujourd’hui dans ce domaine. Alors en L2 puis en L3, j’ai continué mon cursus en Ecologie, toujours de plus en plus passionnée par ce que je faisais. J’ai eu des cours dans des disciplines diverses : Ecologie, Biologie animale, Biologie végétale, Géologie, Reproduction animale, Reproduction végétale, Biochimie, Biophysique … Mais aussi de la botanique, de la phytosociologie et de l’ornithologie. J’ai tout aimé plus ou moins, à part peut-être les cours de Métabolisme qui étaient paradoxalement indigestes avec les formules moléculaires qui prenaient une demi-page. Mais bon, tout cela a été passionnant, dans cette belle ville où j’étudiais. Je pense que le stage de terrain qui m’a réellement appris à dépasser mes limites a été celui en fin de L3, effectué dans la deuxième plus grande forêt de France. Mes trois amies et moi, nous travaillions en groupe pour ce stage sur quatre jours, avec à la clé un rapport écrit de 25 pages à rendre et un oral présenté avec un diaporama. Le sujet, c’était les interactions entre le sol et la végétation, les deux sphères qui me plaisent le plus d’étudier je l’avoue, à côté bien sûr des roches. Il a fallu parcourir une ligne imaginaire d’un kilomètre à partir d’une carte IGN, délimiter des quadrats (carrés de 20 m x 20 m), le tout avec sur le chemin des ronces, une bonne descente boueuse donc bien glissante, des dolines, de la pluie et un orage. Autant dire que par moments, ce stage de terrain a pris des airs de Koh Lanta, surtout que pour la première fois nous étions lâchés dans la nature entre étudiants, sans enseignant pour nous montrer le chemin. Je remercie Google Maps qui nous a bien plus aidées que la boussole en plastique. Enfin, tout cela pour dire que ces jours-là, j’ai appris à dépasser mes limites.
Des fois, dans la vie, l’idée est de sortir de sa zone de confort.
En parallèle de tout cela, en L3, il a fallu que comme une bonne moitié de mes camarades de promo, je cherche un master auquel postuler ensuite … Parce que depuis 2016, la sélection sur dossier a lieu avant la première année de master, et non plus entre la première et la deuxième année de master comme auparavant. Cette réforme a fait beaucoup de bruit, beaucoup de mécontents qui ne voulaient pas changer cet usage. Mais sincèrement, je pense que c’est peut-être plus logique comme ça … Parce que faire un M1 et ne pas avoir sa place en M2, ça devait être d’autant plus frustrant. Bref, au printemps 2018, j’ai eu une période de doutes et de questionnements, je ne savais pas si je faisais bien de viser un master dans une autre région, et pourtant je sentais bien que j’avais envie de voyage, de nouveauté … Au final, d’ici le mois de juin, j’ai postulé à plusieurs masters en écologie, dont certains dans le sud de la France. Le premier master à m’avoir acceptée a été l’un de ceux-là, alors après une courte réflexion et des doutes quant au fait de traverser la France, j’ai accepté à mon tour et me suis inscrite à cette université.
Peut-être que des fois, dans la vie, il faut simplement oser vivre ses rêves, et abaisser les barrières que l’on avait auparavant érigées.
Forcément, je pense que là, à la rentrée de septembre 2018, je suis devenue encore plus actrice de ma vie que je ne l’étais déjà avant (depuis 2015). Aller étudier l’écologie dans le sud de la France, ça signifiait laisser ma famille, mes amis, mon petit ami, mes habitudes, ma région natale derrière moi, au moins pendant deux ans. Mais je savais que le jeu en valait la chandelle, alors j’ai fait ce choix. A vrai dire, cela faisait plusieurs années, après plusieurs étés où j’étais partie en vacances dans le sud de la France, que cette région m’attirait inexorablement. Alors à mes yeux, étudier l’écologie et avoir des sorties terrain dans de tels écosystèmes, cela a été une opportunité à saisir. A force d’y voyager, cet environnement m’a de plus en plus vendu du rêve, et maintenant que j’y suis, je me sens une fois de plus à ma place. Dans la région où je me trouve, les gens d’ici ont le cœur sur la main et prennent les problèmes de la vie avec plus de philosophie que les gens de ma région natale. Concernant les cours que je suis en master, j’ai en moi cette passion et ces rêves qui ne cessent de me suivre chaque jour, de me rendre un peu plus déterminée aussi. Je ne dis pas que je ne doute jamais, évidemment tout ne peut pas être évident tous les jours, parfois on s’arrête et on se retrouve dans le brouillard. Mais lorsque la passion est là, elle ne nous quitte pas, elle est là comme une bête sauvage qui nous pousse à faire toujours mieux.
Alors oui, dans le domaine professionnel, depuis le début de ce blog, j’ai de toute évidence beaucoup progressé. L’année qui a suivi la séparation avec celui qui a été mon premier petit ami, je m’étais demandée si ce projet de reprise d’études en licence, ce n’était pas une revanche vis-à-vis de lui, pour lui montrer que j’étais plus forte encore qu’il ne le pensait. Mais en fait, trois années et demi après, je peux clairement répondre que non, qu’il s’agit plutôt d’une revanche sur la vie et que c’est à moi-même que je voulais prouver que je suis plus forte que je ne l’ai toujours pensé. Depuis enfant, on m’a toujours regardée bizarrement et fait penser que j’étais inadaptée à la société. Adolescente, le système scolaire du lycée m’a fait sombrer un peu plus. Certaines personnes comme des instit’ et des profs m’ont même dit que je n’irais pas loin dans la vie. Au final, aujourd’hui je suis déjà à Bac+4 et je ne compte pas m’arrêter là, parce qu’à l’université je me sens à ma place, entourée de gens qui comme moi réfléchissent et se posent des questions. Alors oui, on peut parler de revanche sur la vie et sur les gens qui n’ont pas cru en moi. Mais avant tout, c’est pour moi que je fais tout ça, parce que je ne sais pas faire autrement pour être heureuse que de devenir une femme épanouie et de vivre ma vie avec passion.
En parallèle de tout cela, sur le plan personnel, j’ai aussi beaucoup avancé. Je sais aujourd’hui un peu mieux qui je suis, et encore aujourd’hui je continue la thérapie que j’ai commencée fin 2014. Mais outre les rendez-vous avec les psychologues, entre temps je travaille sur moi-même et je réfléchis toujours beaucoup. Je suis ainsi faite, et j’ai fini par l’accepter : je ne suis pas comme la plupart des gens, mais avec une intelligence et une hypersensibilité bien plus exacerbées que la moyenne. Bien sûr, en disant cela, je me dis que je peux paraître prétentieuse, mais je me base sur des faits et c’est ainsi. Comme je l’avais déjà écrit sur ce blog par rapport à l’étiquette « pervers(e) narcissique », je n’aime pas trop essayer de faire rentrer les individus dans des cases bien nommées, y compris moi-même. Pourtant, je me rends bien compte que je me reconnais dans les écrits concernant le haut potentiel, la (sur)douance, les zèbres, appelez cela comme vous le voulez. Depuis mon enfance, je suis ainsi faite de telle façon que je passe souvent pour une extra-terrestre, tout le monde me dit que je suis bizarre, encore mes amis aujourd’hui. Avant, combien de fois cela m’a blessée d’entendre que j’étais bizarre … Aujourd’hui, je prends cette remarque comme un compliment.
Le tout, c’est de nous accepter tels que nous sommes, nos qualités comme nos défauts, afin de les assumer. Et c’est un travail de longue haleine, qui ne se fait pas en une journée. Il faut courir, marcher, tomber, se relever et recommencer, ne rien lâcher.
Un autre argument en lien avec le thème que j’ai beaucoup abordé sur ce blog par le passé, la perversion narcissique, c’est que les personnes à haut potentiel se retrouvent souvent dans des relations toxiques avec des personnes perverses narcissiques. C’est un constat que j’ai fait au fil de mes lectures à ce sujet, des nombreux témoignages que j’ai pu lire. L’intelligence de la personne à haut potentiel fascine et intrigue, alors si celle-ci a tendance à trop s’oublier dans ses relations au point de faire passer les autres avant elle-même, cela en fait une proie de choix pour un(e) pervers(e) narcissique. Ce(tte) dernier (ère) n’étant qu’une pâle copie qui a détourné toute son intelligence au service de sa perversion, lui servant ainsi à manipuler les autres à outrance. Alors oui, cela ne m’étonne pas d’être tombée sur un pervers narcissique manipulateur dès le début de ma vie amoureuse. Il a suffi qu’il me fasse miroiter certains rêves que j’avais, et au final le masque est vite tombé, une fois que j’étais acquise. La suite, on la connaît.
Fort heureusement, je peux vous dire qu’on n’est pas fatalement une victime à vie. On peut sortir du rôle de victime, et avoir ensuite des relations plus apaisées, plus harmonieuses. Dans mon cas, je parle notamment des relations amoureuses vu que c’est mon vécu concernant la perversion narcissique, mais cela peut se produire dans d’autres types de relations (amicales, professionnelles, familiales …). A vrai dire, après la séparation, je me suis fait la promesse de ne plus jamais me laisser manipuler à ce point, de ne plus rien accepter qui me blesserait et me ferait autant de mal. J’ai dû réfléchir à ce que je ne voulais plus dans une relation amoureuse, j’en avais même fait une liste écrite précise. Et aussi, ce que je voulais dans une relation amoureuse : du respect, de la compréhension, de l’empathie, de la considération, de l’amour, de l’affection, de la douceur, de l’aventure. Toutes ces choses essentielles et simples, mais qu’un(e) pervers(e) narcissique est incapable de donner, trop centré(e) sur lui(elle)-même et préoccupé(e) à ne jamais perdre la face devant les autres. Mais rappelez-vous que les limites, c’est nous qui les posons, alors il ne tient qu’à nous … Les cartes sont entre nos mains.
Proverbe tiré du livre Le Petit Prince – Antoine de Saint-Saint-Exupéry (une lecture que je vous conseille fortement)
Après la relation avec celui qui a été mon premier petit ami et qui avait tout du pervers narcissique, je suis donc restée célibataire durant environ un an, avec la solitude en tant que choix pour me réparer. J’ai ensuite eu d’autres relations, s’améliorant au fil du temps. La première a été assez rapide, c’était un jeune homme qui m’a montré que je pouvais encore plaire et que j’avais un pouvoir de séduction que je n’avais jamais vraiment réalisé avec mon premier petit ami. Ensuite, six mois de célibat plus tard, j’ai fini par vivre une relation avec un autre jeune homme durant deux ans. Avec lui, rien d’un pn, il m’a montré ce que c’est que d’être aimée pour ce qu’on est, et surtout ce qu’est une relation constructive. Parce que pour la première fois de ma vie, j’ai réellement construit une relation avec lui, avec des hauts et des bas bien sûr (sinon, je serais encore avec lui à ce jour), mais aussi avec du partage, du romantisme sincère, de la considération. Et surtout, j’étais en couple avec un jeune homme intelligent, capable d’évolution et de remise en question, honnête et loyal – toutes ces qualités qu’un pn n’a pas. A ce jour, je vis en effet une relation avec un autre homme. Je ne vais pas chercher à le définir ici tout simplement pour préserver un peu de mystère ; mais tout ce que je peux dire, c’est que je me sens respectée, considérée, aimée par lui. Et que j’ai trouvé avec lui tout cela à la fois : respect, compréhension, empathie, considération, amour, affection, douceur, aventure.
Pour la première fois de ma vie, un homme me regarde comme une femme forte et sûre d’elle, capable de faire beaucoup de choses par elle-même, et non plus comme une petite chose fragile qu’il faut sans cesse assister. Mais cela, c’est aussi dû à mon état d’esprit et au fait que je suis devenue un peu plus femme qu’avant. Je vous assure, on attire vraiment les personnes qui nous correspondent à un instant t de notre vie, comme par un jeu de miroirs. Ainsi, si on est perdu(e) et blessé(e), on a plus de chances de tomber sur une personne malveillante et manipulatrice ; alors que si on est déterminé(e) et qu’on assume ce que nous sommes, on aura tendance à rencontrer une personne bienveillante et forte.
Cet article fait peut-être un peu racontage de vie, mais mon intention était celle-ci : montrer que même après avoir été mis(e) à terre par une relation toxique, avec un(e) pervers(e) narcissique ou tout(e) autre manipulateur(-trice), on peut clairement aller de l’avant et soulever des montagnes, si on le décide. Il suffit de le vouloir et d’y croire, surtout croire en soi et en ses rêves, et surtout oser vivre ses rêves même les plus intimes. Qu’il s’agisse d’un domaine ou d’un autre. La vie est pleine de surprises, et on ne sait jamais ce qu’elle nous réserve.
La vie, c’est comme une boîte de chocolats : on ne sait jamais sur lequel on va tomber.
J’espère avoir transmis au moins un message d’espoir, qui cadre tout-à-fait avec l’idée de lumière que je souhaitais dès le début véhiculer sur ce blog.
N’hésitez pas à écrire ce que vous inspirent les divers thèmes abordés dans cet article, pourquoi pas faire une discussion dans les commentaires.